[enquête] Avis sur les éditions à compte d’auteur déguisé (Sydney Laurent et d’autres)

Ces maisons sont-elles vraiment sélectives ? Si oui, quels sont leurs critères de sélection ?
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Nicolas Parisi
Cofondateur du Club, auteur de nouvelles parues dans diverses revues, je m’intéresse particulièrement à la stylistique et ses applications pratiques à l’écriture. En lire plus

[enquête] Avis sur les éditions à compte d’auteur déguisé (Sydney Laurent et d’autres)

Ces maisons sont-elles vraiment sélectives ? Si oui, quels sont leurs critères de sélection ?

[enquête] Avis sur les éditions à compte d’auteur déguisé (Sydney Laurent et d’autres)

Ces maisons sont-elles vraiment sélectives ? Si oui, quels sont leurs critères de sélection ?
Dans cet article, on ne montrera pas que telle ou telle maison est dirigée par un(e) escroc. On ne serait pas en mesure de montrer une telle chose. Ce serait de la diffamation que de dire que telle maison, parce qu’elle accepte n’importe quoi et vous relance toutes les semaines pour vous publier (sous réserve que vous achetiez tant d’exemplaires ou que vous payiez vous-même le correcteur) est une machine à pomper le pognon de jeunes auteurs malheureusement crédules. Tout ce que nous allons faire dans cet article, c’est déterminer le niveau des critères de sélection des maisons suivantes :
  • Les éditions ****
  • Le Lys Bleu
  • Les éditions Sydney Laurent
  • Les éditions de l’Onde
  • Les éditions Vérone
  • Les éditions Persée
  • Les éditions Spinelle
Et ce, en leur envoyant un manuscrit écrit avec un programme qui génère des phrases aléatoires. L’idée est simple : si le roman est refusé, c’est que la maison est sélective.

Phase 1 : l'écriture du roman

Le corps du texte

Après avoir installé une petite extension LibreOffice qui permet de générer des phrases aléatoires, j’ai généré 700 phrases aléatoires. Ça représentait environ une dizaine de pages, ou 4000 mots.

 

Vu que je voulais « écrire » un roman court de 40.000 mots environ, plutôt que de générer 6.000 phrases en plus, j’ai simplement copié-collé ces premières pages jusqu’à tomber sur 40000 mots.

 

Oui, oui, passé les treize ou quatorze premières pages (après que je me sois occupé de la mise en page), le roman se répète, mot pour mot.

 

Si vous vous amusez à faire Ctrl F sur n’importe quel passage du roman vous allez voir que vous le retrouverez une petite dizaine de fois en tout !

 

Clairement, un éditeur qui lit les manuscrits qu’il reçoit s’en serait rendu compte ?

Le titre du roman

Je voulais un titre qui fasse qu’un lecteur un peu fainéant, qui s’arrêterait au premier paragraphe, se dise « OK, je comprends pas mais je m’en fous ».

 

Pour ça, une seule solution : dire qu’on fait de la poésie.

 

J’ai donc opté pour ce titre : La poésie qui nous sourit en retour

 

Et effectivement, pour rendre crédible un premier paragraphe comme celui-ci :

Sentez un peu si vous voulez monter haut, si mes forces avaient égalé la vingtième partie qui reste, si le ministre, pendant une éclaircie… Descendant du sublime où elle était de la jalousie, plongea jusqu’au fond. Il sied bien enfin à tous les plus grands poètes n’ont rien appris ? Nonobstant sa déclaration en présence du souverain, puisque la nouvelle avait dû être, par un tsar encore assez naïf pour ne pas sentir un charbon ardent. Considérant alors les manifestations de cette faculté, très utile quoiqu’un peu déparée par de gros yeux, songe que ta pauvre mère.

Il fallait au moins ça.

Les chapitres : titres et découpage

Vu que le but était de ne pas s’embêter, j’ai découpé les chapitres de manière aléatoire. Et comme j’avais toujours pas envie de m’embêter, j’ai trouvé un générateur de slogan gratuit et lui ai demandé de me générer des slogans à partir de mots clefs comme : « chanter la vie », « tractopelles », « manger ses morts » ou « sourire ».

 

Voilà quelques exemples de titres des chapitres du roman « La poésie qui nous sourit en retour » :

 

  • Chapitre 2 : Pouvez-vous vraiment vous permettre de tromper l’ennui sur le trône ?
  • Chapitre 5 : Tous les tractopelles devraient avoir ce livre pour pouvoir Manger leurs morts…
  • Chapitre 7 : X manières simples de sourire sans trop d’effort…
  • Chapitre 13 : Avis aux tractopelles qui veulent Manger leurs morts et avoir enfin Une âme karchérisée
  • Chapitre 18 : What happens next will spook you

 

À ce moment-là, même si je me marrais beaucoup, je dois vous avouer que j’étais convaincu que personne, même des maisons à compte d’auteur, voudrait publier un truc pareil.

 

Il me restait donc une chose à faire : soigner à fond la présentation.

La mise en page et le stylage

Ça, c’est la partie où j’ai dû bosser. Surtout pour découper des paragraphes, insérer de temps en temps des tirets cadratin pour donner l’impression qu’il y avait des dialogues

 

Mais le résultat est top ! Un manuscrit qui, lorsqu’on le regarde de loin avec une myopie, ressemble vachement à un futur best-seller !

Phase 2 : L'envoi aux éditeurs

Le persona

J’allais devenir Yann Martin, homme né en 87 (parce que Google, lorsque j’ai voulu créer l’adresse yann.martin@gmail.com m’a dit que c’était déjà pris et qu’il fallait que je sois yannmartin87@gmail.com) auquel il a fallu que j’invente une vie pour les éditions Persée qui étaient très curieuses :

Et je viens de me rendre compte que j’ai calculé n’importe comment l’âge de Yann, vu qu’il est censé avoir 35 ans et pas 38…

 

Mais bon, les maisons d’édition s’arrêtent pas à ce genre de détail ?

 

Niveau adresse, je me suis dit qu’un coin de campagne un peu perdu, mais pas trop, ça serait parfait. Yann vivrait donc à Lons-le-Saunier, chef-lieu de Bourgogne-Franche-Comté.

 

Et pour le numéro de téléphone, j’ai acheté un burner (avec du liquide dans un bureau de tabac ; j’avais l’impression d’être dans The Wire… ce qui en dit long sur le niveau moyen d’excitation dans ma vie, mais c’est une autre histoire ça).

La lettre de présentation

J’ai fait sobre, avec quelques envolées de mots compliqués, puis j’ai laissé entendre que j’étais un peu frustré de ne pas encore avoir réussi à trouver d’éditeur prêt à publier mon chef d’oeuvre.

Tous les sites des maisons à qui j’ai envoyé le roman proposaient un formulaire de contact pour envoyer le manuscrit, donc j’ai copié ce texte dans l’encart à chaque fois.

Petit bilan de mi-parcours

On a donc un roman qui ne veut rien dire, dont les treize premières pages se répètent en boucle et les chapitres ressemblent à des titres d’articles putaclick, mais qui présente vachement bien niveau mise en page.

(vous pouvez télécharger le pdf vous êtes curieux)

Et pour l’auteur, on a un homme pas très urbain, qui écrit « depuis tout jeune quand il était jeune », a arrêté mais a repris grâce au confinement, et est un peu frustré de ne pas trouver d’éditeur pour son roman qui est vachement poétique, drôle et intelligent.

 

Ça en fait le parfait pigeon client ça, non ?

Phase 3 : L'attente (pas très longue) des retours

Allez, on prend les paris…

 

Selon vous, dans combien des maisons que j’ai citées, le manuscrit de Yann a-t-il été accepté ?

 

Les éditions ****

J’ai un peu du mal avec une maison qui n’est pas une maison d’édition, mais une marque possédée par une asso dont on ne connaît rien des dirigeants. J’ai encore plus de mal quand cette asso informe les auteurs qu’ils ne toucheront aucun droit d’auteur sur les exemplaires vendus lors de la campagne de financement participatif, sous prétexte qu’il faut bien payer le prestataire [i.e la plateforme de financement qui prend une marge] alors que la plateforme de financement participatif, c’est eux qui la possèdent.

 

Mais tous mes griefs sont oubliés parce qu’ils ont beaucoup aimé mon roman !

Et ils l’ont tellement aimé qu’ils me relancent en plus ! Dingue, je pensais pas que ce roman aurait autant de succès.

le Lys Bleu

J’ai beaucoup aimé le Lys Bleu. Ils ont cerné avec une perspicacité incroyable le secret de mon style :
vous maniez les mots avec une telle facilité que vous ne semblez nullement et jamais obligé d’écrire.
Parce qu’effectivement, j’ai pas écrit le moindre mot de ce roman.

Que d’éloges ! Que de poésie ! Ça me touche. Mais pas étonnant qu’ils me relancent si ma « plume » leur a tant plu !

Sydney Laurent

Je suis un peu déçu par les éditions Sydney Laurent. Pas de poésie, rien qu’un mail très long (trop pour que je le colle en entier) qui me confirme que le comité de lecture a validé la qualité de mon roman, mais qu’il faudra quand même que je paye 750€ pour un correcteur agréé (question de maintenir l’image de sérieux de la maison, vous comprenez. Faudrait pas qu’on les surprenne à publier n’importe quoi non plus !)

Les éditions Vérone, de l'Onde et Persée

On va faire ensemble les éditions de l’onde, Vérone et Persée qui ne se cachent pas d’être des maisons d’édition à compte d’auteur.

 

Bon, pas de rebondissement de dernière minute : le roman a été accepté.

 

Pour ces maisons qui se disent sélectives, j’arrive même pas à imaginer à quoi peut bien ressembler un manuscrit qu’elles refuseraient de publier.

Les éditions Spinelle

J’avais un doute sur les éditions Spinelle dans la mesure où ils obligent les auteurs à acheter un stock minimum et leur propose des prestations payantes à la carte (comme une jolie couverture, une meilleure correction, leur faire un site internet, etc).

 

Mais, comme l’oblige la charte des journalistes gonzo, je dois bien rendre compte de ce qu’il s’est passé : mon roman n’a pas été retenu par les éditions Spinelle, qui m’ont retourné un très poli mail de refus.

Conclusion

En ce qui concerne les éditions ****, le Lys Bleu, les éditions Sydney Laurent, Vérone, de l’Onde et Persée, dans la mesure où l’absence de sens des phrases, les titres funky des chapitres et le fait que les treize premières pages se répètent en boucle ne les ont pas alarmés, on peut donc conclure que les critères de sélection concernant les manuscrits qu’ils reçoivent sont :
  1. Une bonne mise en page
Attention, cela ne veut pas dire que ce sont de mauvais éditeurs qui s’en foutent de ce qu’ils publient tant qu’ils peuvent ponctionner de l’argent aux auteurs ou à leurs proches. Non, ça veut juste dire qu’ils ne sont pas très sélectifs. Mais, si ça se trouve, ce sont de très bons prestataires de service. En ce qui concerne les éditions Spinelle, je ne peux pas dire que je trouve correct le fait de proposer une carte de services supplémentaires et payants aux auteurs. Mais au moins, ils ont l’air de lire ce qu’ils reçoivent. En tout cas, à vous tous qui avez lu cet article et désespérez probablement de trouver un éditeur, je vous souhaite bon courage et bonne chance. C’est déjà assez dur de terminer un roman, puis de le retravailler jusqu’à en être satisfait… Chercher ensuite un éditeur dont la ligne correspond, tout en évitant les moins sélectifs d’entre eux, c’est une épreuve dont on se passerait bien. Mais c’est le jeu. Alors bon courage.

67 réponses

  1. Bonjour,

    Pour ma part j’ai réalisé un livre avec le Lys bleu, ils ont été très corrects.
    Il faut faire la différence entre la volonté de percer dans l’écriture et le plaisir d’éditer un livre.
    Pour ma part je trouve que ce que propose le Lys Bleu correspond bien à mes attentes. Mon ouvrage est nickel, je peux en vendre sans problème, ils m’ont donné toutes les indications nécessaires.
    Je pense au contraire que leur modèle permet d’éditer un livre de bonne facture pour un coût raisonnable.
    Donc voilà, un peu de réalisme et de modestie, ça tempère et ça permet d’être objectif.

    Corentin Vialle

  2. C’est quand même sacrement osé de copier-coller un texte déjà mauvais (souvent illisible) à la base et le pire c’est que ça passe sans souçi, c’est fou et vous avez bien fait de tester.

  3. Bonjour, fuyez également les éditions participatives Maïa. Si je n’ai rien à redire sur le travail de production du livre, hormis un format, aux dires des libraires, peu vendable, en revanche la promotion et la diffusion sont inexistantes. Donc très peu d’exemplaires vendus… Ma famille et amis avaient pourtant bien mis la main à leur porte-monnaie afin que mon roman soit édité! De plus, l’adresse de cette maison d’édition ne semble être qu’une boîte aux lettres, pas de numéro de téléphone, sauf celui du responsable, un secrétariat injoignable sauf par mail; cela fait près d’un an que je demande la reprise de mes droits d’auteur et la suppression de mon roman de leur catalogue et après plusieurs lettres recommandées, je ne reçois que des réponses évasives… Très déçue. J’aurais préféré que mon manuscrit ne soit pas publié et que l’on m’en explique la raison, au moins, cela aurait été constructif.

  4. Intéressante, votre expérience. Un type qui passe pour l’un des derniers stylistes français, et qui publie chez un grand éditeur parisien depuis 30 ans, avait fait l’expérience exactement inverse, pendant le premier confinement, avec un de ses romans déjà publiés qui avait eu une presse excellente (ce qui n’est pas fréquent quand ça va quasiment de L’Huma à Minute!) Il avait adressé le manuscrit à un éditeur à compte d’auteur qui s’était fait une autopromotion d’enfer et qu’il pensait parfaitement marron. Le type était installé hors de France, si ma mémoire est bonne, il était informaticien et il suffisait de poster un manuscrit sur son site où zonaient un tas de paumés qui passaient leur temps à s’autocongratuler en mode forum. Donc le manuscrit, sur un coup de tête (et sans doute après une bonne poivrée), est expédié “pour rigoler”, ce qui était assez périlleux, rétrospectivement. Il fallait, je m’en souviens, payer environ 70 euros en CB. Mais après quelques jours, retour d’email: l’ami en question a eu affaire à “l’éditeur” qui faisait une faute d’orthographe tous les trois mots et de syntaxe toutes les deux phrases: le manuscrit n’allait pas du tout! L’informaticien improvisé éditeur l’avait passé dans la moulinette de je ne sais quel “vérificateur” de son invention et le bouquin en était ressorti avec une très mauvaise note: c’était vraiment trop mal écrit! “C’te marrade!” s’esclaffe l’auteur qui se tenait les côtes. Donc l’arnaque était là: il fallait payer un “relecteur-correcteur” et, du coup, les frais passaient de 70 euros…. à plus de 500!

  5. Bonjour et Merci à tous pour vos interventions éclairantes. Quelle histoire cette liquidation judiciaire !! Je n’y entends rien !! Je pensais m’associer les services d’un juriste mais je devrais encore mettre la main à la bourse (oups, pardon pour l’expression hardie).
    Et pourtant… Les contrats de Sydney Laurent semblaient prometteurs, clairs et sobres ; une correctrice était désignée pour la phase de mise en forme ; les délais de publication semblaient “raisonnables”, l’impression de couverture et la reliure sont de belle facture. Et pourtant… Un seul et modique versement de droits d’auteurs en 3 ans et, sans exagérer mon appréciation, des contacts plutôt rudes avec l’interlocuteur en chef (à telle enseigne que je n’appelais plus). Et maintenant… Pour ma part, trois romans dont j’ignore le sort. Je suis triste pour “mes” personnages. Où vont-ils échouer ? Sont-ils voués à une mort prématurée ? Diane qui espère tant un enfant, Laurent qui s’efforce de retrouver la mémoire, Florine qui veut construire des maisons à visage humain. En votre nom, chers personnages, je dis : Help ! Hilfe ! Aiuto ! À l’aide ! Certes, financièrement, vous n’avez pas beaucoup contribué à m’enrichir (rires), mais je vous aime et je ne vous laisserai pas orphelins… J’ai la hardiesse d’espérer que cette désastreuse parenthèse Sydney Laurent va vite se refermer et que la société repreneuse ” Le Nombre 7 Éditions” vous viendra en aide ! (sous quelles conditions pécuniaires et organisationnelles : encore un grand mystère à l’heure actuelle, 09 juin 2023).
    Je souhaite à tous les auteurs une belle route, dans la joie et merci à tous ceux qui sont détenteurs de bons conseils, afin d’éviter la forêt d’embrouilles.

  6. Bonjour
    Je confirme. Je n’ai malheureusement pas pris le temps de m’informer au préalable et je me suis fait avoir par les édition le lys bleu. Mon livre a bien été publié après un travail de correction et de mise en page à peu près inexistant vu que c’est moi qui ai tout fait. Puis, en un an, les seules personnes qui ont acheté le livre sont mes amis. La maison d’édition n’a fait absolument aucun travail de diffusion mais me propose régulièrement d’acheter une partie de mes ouvrage ou de faire éditer (puis d’acheter) un extrait que je pourrais ensuite déposer dans les librairies. Mon recueil n’a pas non plus été référencé par l’annuaire du livre Provence Alpes Côte d’Azur car cet organisme estime (à juste titre à mon sens aujourd’hui) qu’il ne s’agit pas d’une maison d’édition à compte d’éditeur. Bref, je me suis fait avoir vu que je ne peux plus maintenant trouver d’autre maison vu que mon livre a déjà été publié ailleurs… N’ALLEZ PAS AU LYS BLEU !!! FAITES LE SAVOIR.

    1. bonjour je suis à la recherche des avis sur la maison d’édition le lys bleu et en regardant vos réponses je commence à m’inquiéter j’ai reçu un contrat de leur part de 21 pages donc il me demande et je suis obligé de prendre 40 livres dont tout ce que je sais c’est les dimensions de mon livre je n’ai pas signé chez eux parce que pour décrypter leur contrat il faut être un vrai expert alors s’il vous plaît n’hésitez pas à me donner des conseils

    2. Bonjour, je suis actuellement chez Le Lys Bleu Editions et j’aimerai coupé court au contrat.
      Comment avez-vous réussit à couper court au contrat ?
      Sachant que j’ai jusqu’au 10 septembre pour envoyé le courrier recommandé (soit 3 mois avant date d’anniversaire)
      Si vous pouvez m’aider, je suis preneuse de toutes information.

    1. A éviter, ce sont les mêmes guignols et encore je suis poli. C’est maisons d’édition à pseudo “pas compte d’auteur” sont des farceurs et des pompes à oseille, il ne valent d’ailleurs pas beaucoup mieux que les vraies maisons d’édition Gallimard, Denoël, etc … etc … qui refusent systématiquement tous les débutants, mêmes excellents, et ne prennent que les petits copains, les petites copines ou les petits copains-copines des loulous de leur entourage. Toute ces limaces arthritiques françaises forment un dôme infranchissable qui a détruit le rayonnement international de notre culture.
      Il faut savoir que Gallimard a loupé l’édition originale de Harry Potter que J.K Rolling leur avait envoyé en français puisqu’elle est bilingue et vivait en France à l’époque. Si cela n’est pas un échec dû à l’incompétence des comités de lecture, même les plus sérieux de l’hexagone, je ne sais pas ce qui le serait ….

  7. Une citation qui doit vous permettre d’avancer…
    “C’est une folie de haïr toutes les roses parce que une épine vous a piqué, d’abandonner tous les rêves parce que l’un d’entre eux ne s’est pas réalisé, de renoncer à toutes les tentatives parce qu’on a échoué… C‘est une folie de condamner toutes les amitiés parce qu’une d’elles vous a trahi, de ne croire plus en l’amour juste parce qu’un d’entre eux a été infidèle, de jeter toutes les chances d’être heureux juste parce que quelque chose n’est pas allé dans la bonne direction. Il y aura toujours une autre occasion, un autre ami, un autre amour, une force nouvelle. Pour chaque fin il y a toujours un nouveau départ.”

    ― Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupéry

    1. Merci pour cette belle attention, je suis ici pour vivre ma vie, il faut donc la vivre pleinement car un jour je ne serai plus et il sera trop tard, on le dit tous sans vraiment en mesurer l’importance parce que l’on croit que l’on a encore le temps, que ce n’est pas pour maintenant alors que le temps lui, pendant ce temps là, ne s’occupe pas de ce que l’on pense car lui, agit, et finalement le temps passe, un peu plus chaque jour, il s’écoule sans détour, jusqu’au jour où, déjà, l’on a vieilli !
      A mon tour de vous envoyer une citation que je trouve très belle et qui j’espère vous plaira, avec laquelle je ne doute pas que vous avez déjà réalisés quelques rêves, au vu de celle que vous m’offrez, que je trouve magnifique et pleine de sens :
      “je vous souhaite des rêves à n’en plus finir et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns”. Jacques Brel. Je vais de ce pas faire ce que je dois faire car je ne sais rien, on ne me dit rien, je ne sais pas où sont mes écrits, où est mon livre pourtant j’ai reçu un AR, alors un second courrier, me vaudra t’il en retour, une réponse ? Oui, j’y crois.
      Belle journée
      et comme dirait Chaplin “l’obstination est le chemin de la réussite”.

  8. bonjour,
    Comme d’habitude, il y aura toujours des personnes pour critiquer et non pour comprendre. Juger est quasi impossible mais il y a une nuance entre constat, issue d’une vérité qui de toute façon sera jugée, difficile d’être dans la justesse, le juste équilibre, là, pareil, être dans le milieu, c’est pour certains, ne pas s’engager, être dans l’ambivalence, ne pas être courageux, moi, je pense que nous avons tous une part de raison, de tort et que nous apportons aux uns et aux autres, je ne suis pas la voix de la sagesse non plus, je suis pour l’équité, on ne peut nier ce qui est évident et quoi que tu fasses, il y aura toujours à redire. C’est peut être pour cela que le monde va mal, plus personne ne s’écoute, à part lui-même.
    En premier lieu, je remercie l’auteur de ce lien qui permet de s’exprimer. Merci beaucoup. Parce que franchement il n’y a rien pour les auteurs qui souhaitent communiquer leurs ressentis. Enfin, plus maintenant, grâce à vous. Je trouve très bien ce droit à la parole et je ne pense pas que lors de la création de ce blog c’était pour y faire paraître des méchancetés mais des réalités et chaque témoignage doit être écrit.
    J’ai signé un contrat chez un éditeur qui a été en redressement, qui est apparemment en liquidation, je vais écrire à nouveau au mandataire qui ne m’a jamais répondu même avec un AR, mais ils doivent être débordés. Le plus triste dans l’histoire c’est qu’en septembre dernier l’éditeur connaissait déjà sa situation et il connaissait la mienne, je n’ai pu payer les 750 euros en une fois, je suis en invalidité et je ne suis pas bien riche, ça cela aurait pu être évité et moi jamais je n’aurais du accepter, payer pour être publiée c’est bien triste à y réfléchir, même si c’est un navet on publie alors et puis écrire c’est avant tout une passion, tous les jours j’écris, j’aime les mots, ils me transportent, décuplent mon imaginaire débordant.
    Et puis comme dit Bobin, on écrit pas pour devenir écrivain mais il l’est aujourd’hui, lol. La vie est pleine de paradoxes.
    Si j’ai voulu écrire c’est pour aider, accompagner les malades, même si des livres existent en quantité à ce sujet, personne n’écrit comme personne, chacun a son style, sa façon de transmettre, de toucher dans les émotions, on peut faire beaucoup de choses, même en bloquant, en tremblant, en ne pouvant plus marcher, se rhabiller, les moments où l’on va mieux, il faut s’occuper d’autrui, s’oublier mais pas de trop, faut prendre soin de soi sans nier ce que l’on est devenu, mais se décentrer de soi, parler que de soi, n’est pas la meilleure des thérapies, même si ma maladie ne se guérit pas. Aujourd’hui c’est la journée mondiale et je déplore que l’on en parle pas, la 2ème cause de handicap moteur en France, tout de même. J’ai bien raison, elle n’est pas considérée à la hauteur de sa gravité. Et celles et ceux qui en parlent ne la vivent pas, il manquera ce détail, des plus importants, ils ne comprendront jamais mais ils la représentent, merci. C’est comme mettre en poste des personnes en lien avec la santé alors qu’elles n’ont aucun souci, comment comprendre ? à moins d’être très empathique. Dommage, j’aurais proposé “Et si on dansait”, car la vie c’est une danse et il faut toujours garder espoir car l’espoir fait vivre. 13 ans déjà pour moi et je prends toujours soin de moi, il n’est pas question qu’elle me prenne tout. Aujourd’hui, je ne sais rien sur mon livre, c’est dégueulasse oui, à part qu’il a été corrigé, qu’il était en attente de réception après impression, que vont devenir mes écrits ? bien sûr je n’ai aucun moyen pour me défendre, je n’ai ni pouvoir ni argent, je ne suis qu’une pauvre faible femme qui aide les autres et affronte seule son quotidien, c’est une belle force. Merci de m’avoir permis de m’exprimer, une pensée pour les salariés, et pour mes enfants, pour qui j’ai voulu laisser une trace mais tout est éphémère. Belle journée. Marilyn

  9. Bonjour,

    Je viens exprimer ici mes interrigations concernant les éditions Sydney Laurent et vous tenir informés;
    Je ne reviendrai pas sur ce qui a été exprimé plus haut : 750 euros à payer avant la transmission du contrat ” à compte d’éditeur” ( ????) au nom de M. TAES alors que l’intervenant et le pseudo ”patron” se fait appeler SOLANGE!!! Malgré tout, comme un benêt, je cède…
    Je résume la suite: pas de publcité, peu de propositions de salons, et impressions douteuses ( alors que le contrat prévoit l’édition de 1000 exemplaires ( !!!!!) ) et un accueil mitigé au téléphone. Par contre, omniprésente du ”patron” dès qu’il s’agit de règlement…. Bling bling ! par là, la monnaie des benêts…
    Une récente demande d’achat de mes livres; 2 réponses à 3 semaines d ‘intervalle “Votre livre est en impression”. Mais l’envoi d’un DEVIS à la place d’une facture et un rib pour un virement à adresser à UNE BANQUE CHARGEE DE RECUEILLIR LES FONDS DU….REDRESSEMENT JUDICIAIRE!!!!! où sont placées les éditions SL depuis le 10 janvier 2023. Je ne veux pas payer sur la production d’un devis. SOLANGE m’appelle m’explique que tralalala … La RJ est volontaire, que j’aurai mes livres et qu’il faut les acquitter à l’avance. Mais j’ai perdu confiance. Alors, excédé, avant de raccrocher M. SOLANGE me taxe d’un charmant ” TU ME CASSES LES C….” (sic)
    Donc méfiance à ceux qui entendront désormais le doux chant de la petite sirène qu’est M. SOLANGE….
    Des auteurs n’ont pas reçus leurs ouvrages payés, les correcteurs non pas été payés, une auteure a intenté un procès; bref, la poisse…; quant aux droits d’auteur… autant allumer un cierge à Lourdes et attendre l’apparition de la Vierge, ce sera plus sûr…
    Quant à moi, après avoir mouillé de nombreux mouchoirs, je prie chaque soir à genoux devant mon lit pour que des édititons ( qui racolent encore sur leur site…) soient placés en LIQUIDATION JUDICIAIRE le plus rapidement possible afin que je puisse représenter mon manuscrit à un autre éditeur, qui ne soit pas , lui, un triste aventurier….

  10. Bonsoir.
    A la suite d’un faux mouvement, j’ai adressé mon manuscrit au Lys Bleu. Réponse en moins de 2 semaines pour un roman de 400 pages ! Je me doutais qu’il serait “accepté” avec enthousiasme. Je n’ai pas été déçu. Ils ont un peu modifié leurs phrase-type et leur mail élogieux me dit, je cite “…vous entraînez vos lecteurs dans des aventures rebondissantes et enthousiasmantes. À cela, ajoutons que votre style est beau, limpide, que vos descriptions sont fines et que vos personnages ont une épaisseur qui les rend parfaitement cohérents.” Ce qui est à l’opposé des caractéristiques de mon histoire, de mes personnages et de mon écriture (mon roman a d’autres qualités…). Evidemment, ils ne l’ont pas lu. J’avais eu la même chose avec Sydney Laurent, qui me trouvait génial moyennant 750 euros. Et qui était capable, dans la même phrase au téléphone, de m’affirmer qu’il ne me demandait pas un centime, et de me demander ensuite 750 euros pour “la correction – obligatoire – par un “professionnel”. Le signe qui ne trompe pas : Là où les éditeurs sérieux demandent 3 à 6 mois pour la réponse, les escrocs répondent en 2 ou 3 semaines.
    En tous cas bravo pour le – très édifiant – test “gloubi-boulga copié-collé” !

    1. Escroc avéré. Il faut lui mettre la DGCCRF au cul. J’ai résilié un contrat at l’éditeur a édité mon livre ensuite… édifiant.

  11. @ Stéphane Averes
    Publier en 2012 et 11 ans après ne pas encore avoir ni les chiffres de vente, ni de versements, c’est bien curieux dans la mesure où, dans ce forum, nous avons lu que **** verse aux auteurs et autrices une fois l’an leur dû!
    Quelqu’un peu nous aider alors à trouver des ME fiables?!?

  12. Bonjour,
    J’ai publié un livre “l’Absolu Secret” en avril 2012 au éditions ****. Si j’ai beaucoup participé en détail à la mise en page, couverture et relecture du BAT , je suis globalement satisfait des services de cette maison d’édition. Bien sûr, j’en ai acheté une cinquantaine mais tous vendus ou donnés à mon entourage. Au delà, **** a diffusé ce livre sur un nombre important de plateformes en France et à l’étranger (le l’ai même trouvé sur un site au Japon !). Cela, je n’aurai pas pu le faire moi-même. Je n’ai pas encore les chiffres de vente ni de versements, mais cela n’est pas un problème pour moi, je voulais avant toute chose partager cette vision. Cordialement. Stéphan Averes.

  13. Le Lys bleu…

    La réponse que j’ai reçue au bout de 3 semaines (très rapide) était mot pour mot celle citée : “vous maniez les mots avec une telle facilité que vous ne semblez nullement et jamais obligé d’écrire. Votre plume est belle et son encre coule délicatement sur le papier conférant à l’ensemble une légèreté inhabituelle qui a conquis nos lecteurs et conquerra le public.”
    Elle était présentée comme une synthèse des remarques d’un “comité de lecture”. Cela me semble évidemment mensonger, cynique et vil.

    1. je suis perplexe car votre avis semble indiquer que l éditeur est un truand. ce dont je doute. encore . la réponse reçue suite à l envoi de mon manuscrit semble bien spécifique :
      votre ouvrage est intéressant de par la qualité de votre réflexion. Cette analyse nous pousse à chercher, à comprendre et nos lecteurs vous en remercient. À cela, ajoutons que votre style est limpide et qu’il convient parfaitement à ce type d’ouvrage.

      vous me faites bien rigoler vous les auteurs dont je fais partie, vous vous imaginez être des “grands auteurs” . restez lucides. nous sommes des dizaines de milliers à vouloir péter dans ce monde de l écriture. il y très peu d éditeurs, à compte d éditeur qui sont de vrais éditeurs. Le restant varie entre des éditions participatives et d autres qui sont des pompes à fric. et puis 40 livres achetés quand on est sûr de son talent et qu on sait qu on va vendre, c’est pas la mer à boire. réfléchissons ensemble. si vous avez tous raison quelque part publier même dans ces conditions permet d avancer dans l écriture. De poursuivre cette merveilleuse aventure qui nous pousse à toujours atteindre le meilleur de nous même,. ceci dit bous m avez déstabilisé avec vos réflexions sur les éditions le lys bleu.

  14. Très bon article. Plus que cela même, puisque vous nous offrez un travail d’investigation.
    Un de ces quatre, il faudra bien qu’un journaliste (ou une, bien entendu) se jette dans le bain. Parce qu’il n’y a pas que les maisons d’édition de ce type. Il y a toutes les autres qui éditent des textes corrects, sans toutefois les lire vraiment, après les avoir uniquement sondés, et qui les éditent. Sauf que… ils n’en font strictement rien (ou ils font semblant de faire, comme envoyer des tonnes de mails à des journalistes pour leur communiquer le dossier de presse -que vous avez réalisé vous-même sous leurs directives-, mais des tonnes de vrais mails à des tonnes de vrais journalistes qui ne les ouvriront jamais car ils en reçoivent des tonnes chaque jour, etc.). Et puis, vous découvrez qu’ils n’ont aucun moyen de distribution, pas de diffuseur, etc.
    Mais ils ne sont pas les seuls à bouffer au râtelier : que dire de tous les coaches en écriture ? et des plateformes ? et des Librinova & Co ?
    Bon courage ! Je vais partager votre article (Dire qu’une autrice s’est fâchée avec moi le jour où j’ai refusé de sponsoriser **** pour éditer son livre, et ne m’a plus jamais adressé la parole après que j’ai tenté de la dissuader…. bref, à la gabegie économique, il faudrait ajouter la gabegie humaine).

  15. Bonjour et merci de cet article 😉 pour ma part j’ai refusé le lys bleu donc je vois que j’ai bien fait.
    Je m’interroge sur HELLO ÉDITIONS : un avis ?

  16. Sachez que vous avez des organismes qui proposent de vous aidez à créer votre livre moyennant finance en plus!!!!!!

  17. A compte auto édition
    Vous payez tout et vous encaissez ka somme dans sa totalité
    Lais c est vous votre propre éditeur et cvest vous qui devez le vendre
    Un parcours épuisant
    C est vous qui voyez sachant que pour faire éditer un livre cela coûte très cher
    Amazone est gratuit pour vous en numerique.

  18. Les maisons d édition: très très peu de chance d être sélectionné par le comité de lecture si pas connu
    Le compte d auteur vous donne la possibilité si le livre n est pas nul d être édité
    Votre livre va sortir. Vous l aurez chez vous sur votre étagère
    Vous le verrez en stock chez les libraires ou pas si ce dernier l a refusé. Ce qui est frequent
    Si quelqu un veut l’acheter il devra le commander. Pour le commander il faut le connaître!!!!
    Comment ce livre sera t il connu?
    Il n’ est pas visible dans les rayons
    Aucune publicité ne sera faite
    Le client ne sait pas si existe.
    C est vous qui devrait gérer sa publicité en France.
    Il vous aura coûté entre 800 et 3 a 4 000 €….
    Le compte éditeur ne vous demande rien mais rejettera votre manuscrit.. où je vous répondrai jamais
    A vous de choisir !****. Le lys bleu ka bruyère Baudelaire sommes vertigineuse
    L onde 1500€ tous je vendent rien malgré leurs envois dur papier glacé très alléchante. Certains vous factures les marqué page qui sont gratuits partout !!!

  19. Éditions de l’onde
    Pas sérieux
    Éditions st honore les moins chers a compte d auteur.
    Jbzttends mon livre .il est en impression
    Le suivi a été agréable
    Maintenant j attends la distribution suis est. Le point clé d un livre
    En général les ME vous abandonnent des que le livre est envoyé en librairies
    C’est le libraire qui choisit ou pas votre bouquin
    Il est impossible d’être connu si vous êtes inconnu
    L inconnu n intéressé pas les libraire
    Que faire
    Les dédicaces a organiser soi même et certaines librairies vous regardent de haut
    Votre livre est en stock mais pas dans les rayons!
    Quasi invendable !!
    Parcours quasi impossible
    Le seul point positif c’est que vous possédez chez vous votre LIVRE

  20. Mon manuscrit a été accepté très rapidement par les éditions le lys bleu. J’y ai cru pendant les deux premiers mois, et puis après! Disparu ! Dans les oubliettes ! en compagnie des quarante exemplaires achetés (un contrat est un contrat). La page d’acceuil de leur site! exécrable ! Aucune autre information à part la parution des nouveaux livres publiés (soit d’aprés mon estimation plus de 1500 livres pour 2022) les meilleures ventes (toujours les mêmes une dizaine de livres). Ils ne défendent pas votre livre n’en font aucune promotion.

  21. Magnifique !
    Pourquoi étais-je donc, dès le titre, convaincue que vous seriez publié ? Enfin, pas vous, votre pseudo-truc littéraire bien présenté. Lorsque j’étais enfant, durant le dernier millénaire, beaucoup de profs notaient la présentation, pas seulement la pertinence (et très mal la créativité.) Mais ça ne permettait tout de même pas d’obtenir la moyenne.
    Mention spéciale pour votre incipit très réussi.
    Tout mon respect aux Editions Spinelle.
    J’ai aussi commis une petite vidéo pour permettre aux auteurs de reconnaître un imprimeur déguisé, je mets le lien ici : https://youtu.be/WZILECole1I
    Et je file vers l’appel à textes.
    Contente de vous avoir trouvé.

  22. Bonjour,

    Je viens de soumettre un manuscrit aux Editions Le Lys Bleu – n’étant pas au courant des pratiques que vous signalez ici.
    Toutefois, je n’ai pas encore signé un contrat. J’ai par contre cédé à l’injonction de leur renvoyer le manuscrit, parce que soi-disant l’envoi par leur formulaire n’avait pas marché. Et jusqu’ici, je n’ai pas encore reçu d’appréciation d’un comité de lecture quelconque. A suivre, donc.
    Merci de tous ces avertissements donnés ici. J’en tiendrai compte, malgré la difficulté évidente de trouver un éditeur pour un texte qui ne rentre pas dans les catégories les plus prisées (récits de vie, polar, aventure etc.).

  23. Bonjour,

    J’avais reçu une offre d’un véritable éditeur pour mon essai historique mais les conditions me semblaient très drastiques donc j’ai décidé de tester les éditions ci-dessous en plus d’une autre soi-disant maison d’édition(s). Dans les trois cas : réponse positive.

    J’ai testé moi-même les éditions Vérone (un envoi complet de manuscrit) et le Lys Bleu (un envoi partiel) sans aucune illusion.

    Dans le premier cas, une lettre d’éloges avec une carte de visite et un contrat au coût total de près de 4000 euros (édition, impression, publication numérique et distribution) avec en sus une exclusivité de deux ans mais 30 livres gratuits.

    Dans le deuxième cas, mon manuscrit partiel qui a “buggé” a été accepté avec éloges puis ils se sont rendu compte qu’ils n’avaient en fait pas reçu le manuscrit donc rétropédalage “pouvez-vous nous soumettre à nouveau votre manuscrit ?”. …

    Je ne peux pas certifier qu’ils ne font pas le travail qu’ils proposent de faire car je ne suis pas allée jusqu’à ce stade. Je communique simplement mes humbles remarques de chercheuse.

    Conclusion : ce sont bien des éditeurs à compte d’auteur.
    Bon courage à tous

  24. Bonjour
    les éditions sont bel et bien un éditeur à compte d’auteur par le biais d’une campagne de lancement “****** *****”. j’ai publié chez eux et je puis vous assurer que malgré les allégations (figurant au contrat) ils n’effectuent pas de promotion de l’ouvrage se bornant simplement à informer les partenaires de la parution de l’ouvrage. Pas de concertation avec l’auteur pour l’organisation de séances de signatures : c’est à vous de vous débrouiller si vous avez les contacts.
    Durant toute la phase de préparation et d’édition du livre le contact avec les éditions **** est simple et courtois.
    Après c’est une autre affaire.

    1. Là aussi, on peut comprendre qu’un auteur soit déçu que son livre n’ait pas rencontré tout le succès qu’il aurait souhaité, mais il faut aussi être raisonnable et savoir apprécié un livre bien édité.
      En revanche, **** est bien à compte d’éditeur puisque l’auteur n’a pas à débourser un centime : ce sont les préventes et les ventes qui financent le livre.
      Il n’y a rien de scandaleux à informer ses proches que son livre va paraître. Ils achètent ou non le livre. Ce premier cercle est l’indispensable premier lectorat de l’auteur. Croire qu’il suffit de mettre un livre en rayon pour qu’il se vende est malheureusement une erreur que font les personnes ignorant le fonctionnement d’une librairie.

      1. Le commentaire de PATUREL évoque encore une fois que la description du service proposée par le vendeur a été incomplète, non précise dans les tâches proposées et réalisées. De ce fait, l’acheteur, naturellement, peut s’attendre à autre chose.

        C’est pour cette raison que c’est au professionnel de délimiter le périmètre de son service afin de limiter les abus.

        Exemple : Dans un service intitulé “Je vais vous mettre en relation avec des journalistes” cela n’inclus pas forcément ;
        – je vais rédiger votre description de livre
        – je vais réaliser votre communiqué de presse
        – je vais faire votre dossier de presse
        – je vais faire votre pige presse
        – ect …

        PATUREL semble, sauf érreur, dire également “Pendant qu’ils préparent et publient le livre, ils sont gentils et polis, mais après, c’est une autre histoire.”

        Donc, c’est au professionnel de montrer qu’il est “vrai” professionnel !

        Au-delà de l’égo ou l’intention de vous faire la morale (loin de là, l’intention) je suis tous les jours confrontés à des problèmes de ce genre avec des auteurs et écrivains que j’accompagne. Près de 850 en moins de 2 ans.

        Donc, encore une fois, c’est au professionnel de montrer qu’il est “vrai” professionnel !

  25. Les éditions **** sont toujours d accord pour vous éditer soi disant à compte d éditeur mais en fait c’est à compte d auteur avec une pré campagne qui vous oblige à vendre sur internet à tous vos proches et à vos amis tandis que eux ne font rien, ni corrections ni couverture du livre ni mise en page, c est du pipeau, et en définitive on vous propose s acheter 50 de vos livres pour les distribuer, moi je ne peux ni ne veux sortir un euro pour être éditée alors que sur leur site ils mettent Rien à payer pour l auteur, ce genre de manigance devrait être interdit mais il y a tjs des cons qui tombent dans le panneau, s en tenir aux grandes maisons d éditions et si elle vous refuse tant pis ça ne vous coûtera rien, à éviter toutes ces maisons à droits d auteur qui videront vos poches sans remplir vos espoirs, tout le monde peut se faire éditer par ****, tout le monde est un génie pour eux, une pompe à fric et idem pour les autres maisons méconnues ,Sydney,le lys, et compagnie .bonne chance!

    1. Vos allégations sont mensongères : chez **** une équipe accompagne les auteurs à chaque étape de la vie de leur livre : maquette, correction, promotion, diffusion etc.
      Si vous êtes auteur chez ****, vous avez un service promotion qui démarche pour vous les librairies en vue de dédicace et vous avez un service diffusion qui démarche les librairies pour une mise en place de livres.
      Concernant votre livre M. Sebir, il est vrai que les ventes n’ont pas fonctionné à la hauteur de nos attentes mais c’est la vie de l’édition : tous les livres ne peuvent pas avoir du succès. Il faut se réjouir qu’il soit édité de façon professionnelle et accessible très largement dans toutes les librairies.

      1. Mezzadri, 🎉 bravo pour votre travail chez Gaïïa Edition ! C’est super de mettre en place des solutions pour les auteurs et d’être un entrepreneur. On ne félicite pas assez les entrepreneurs en France, alors c’est cool de voir quelqu’un qui prend le taureau par les cornes et qui s’engage dans cette voie.

        Malheureusement, j’ai lu dans l’article que certains de vos clients semblent insatisfaits ou mécontents. Je sais que gérer un service de publication de livres peut être difficile, mais il est important de s’assurer que nos clients sont satisfaits. Alors, que faire dans ces cas-là ?

        Tout d’abord, il faut rester calme et ne pas se laisser emporter par la colère. Je suis sûr que c’est facile à dire, mais pas toujours facile à faire ! 😅 Ensuite, il faut expliquer, expliquer, expliquer. Assurez-vous que vos clients comprennent ce que votre service inclut et ce qu’il ne inclut pas. Si vous vendez du rêve ou laissez entendre que votre service inclut quelque chose qu’il ne comprend pas, vous allez créer de l’insatisfaction et de la déception. Alors, avant de faire de la publicité pour votre service, assurez-vous de revoir la description de ce que vous proposez et de préciser clairement ce qu’il inclut et ce qu’il ne inclut pas.

        Bon courage ! 💪🏼 Que la force soit avec vous ! 🌟

  26. Très comique cet article ! Vous reprochez à des éditeurs de vendre des prestations alors que vous-même vous en vendez sur ce site et utilisez le nom de ces éditeurs pour capter des visiteurs… et les auteurs croient à votre objectivité. LOL

    1. Bien vu. Blua.

      Les gens pensent que le système de ”biens et services” n’est pas soumis aux mêmes règles pour tous dans toutes applications d’échanges et de ventes des ”sujets” comme des ”objets”. C’est bien ”comique” tout cela. Tout en sachant que les individus vivant de leur art sont une minorité. Toutefois si vous aimez sincèrement ce que vous faîtes, c’est déjà pas si mal, et le temps, maître de tous les jeux, vous donnera, peut-être, un coup de pouce, entre destin et hasard.

      Il est vrai que, pour ce qu’il est des expériences qui peuvent y servir à la collectivité, un homme seul ne saurait suffire à les faire toutes ; mais il n’y saurait aussi employer utilement d’autres mains que les siennes, sinon celles des artisans, ou tels services prodigués par autres gens, qu’il pourrait payer, et à qui l’espérance du gain, qui est un moyen très efficace, ferait faire exactement toutes les choses qu’il leur prescrirait ; sans autre sens que celui de vouloir générer son propre accaparement contre les errements de l’existence soumise à une idéologie intemporelle, en futur sans pression usurière, où le présent n’aurait autre visage que celui d’une créance par-delà la mort certaine. Et depuis des siècles, l’historiographie des hommes a démontré l’inutilité des mots, en cette façon, édictés au nom de desseins particuliers et dogmatismes ligaturés aux portes des désirs inassouvis.

      Rats des villes et rats des champs, ne serait-il pas utile d’arrêter vos néfastes manigances alimentées par le mensonge et les tricheries, notamment en, par et avec tout ce qui peut résulter de cette partie – cultu®elle – népotique délétère, tant envers le monde végétal que celui organique, comme il pourrait en être d’un relatif apaisement.
      Le Rat de ville et le Rat des champs est la neuvième fable du livre I de Jean de La Fontaine situé dans le premier recueil des Fables de La Fontaine, dédié au dauphin, fils de Louis XIV et édité pour la première fois en 1668.

      Autrefois le rat de ville
      Invita le rat des champs
      D’une façon fort civile
      À des reliefs d’ortolans.

      Sur un tapis de Turquie
      Le couvert se trouva mis.
      Je laisse à penser la vie
      Que firent ces deux amis.

      Le régal fut fort honnête
      Rien ne manquait au festin
      Mais quelqu’un troubla la fête
      Pendant qu’ils étaient en train.

      À la porte de la salle
      Ils entendirent du bruit
      Le rat de ville détale…
      Son camarade le suit.

      Le bruit cesse, on se retire
      Rats en campagne aussitôt
      Et le citadin de dire :
      – ‘’Achevons tout notre rôt.’’
      C’est assez, dit le rustique
      Demain vous viendrez chez moi :
      Ce n’est pas que je me pique
      De tous vos festins de roi ;
      Mais rien ne vient m’interrompre
      Je mange tout à loisir.

      Adieu donc ; fi du plaisir
      Que la crainte peut corrompre. »

      Jean de la Fontaine

      La contradiction entre l’homme et le citoyen fait la misère humaine. Jean-Jacques Rousseau.

      Et si un jour, un film ou un livre, a ou avait-eu le prix des ‘’Pygmées’’, il faut le dire. Et au moins il y aurait possibilités à ce que quelques ‘’Sots et Ignorants’’, en déni de diversité culturelle, viennent le voir.

      Le terme apparaît dans l’Iliade d’Homère. Le passage aurait fait allusion à une énigmatique population d’une taille excessivement réduite entretenant une lutte perpétuelle pour sa survie contre les nuées migratoires des grues.

      Les sites de reproduction de ces oiseaux étant situés très loin en Afrique équatoriale, la difficulté de la connaissance d’une peuplade aussi éloignée a toujours constitué un important problème pour les historiens.

      Toute connaissance « commence avec l’expérience » et provient de l’application des lois de l’entendement formalisé aux données de l’intuition. Elle ne peut donc trouver place que « dans le champ de l’expérience possible » et « les lois de la nature matérielle sont les seules que nous puissions exactement connaître et déterminer ». En outre la science doit s’appliquer à élaborer l’élément représentatif et se limite aux phénomènes, aux apparences, qu’elle explique en les rattachant les uns aux autres dans une série indéfiniment extensible, suivant la loi de la causalité, sans jamais s’arrêter à un terme d’initiative subjective.

      La volonté d’en faire recherche et analyse personnelle échangée dans une potentielle étude fraternelle ne saurait aboutir à la concoction « métaphysique » dans l’hystérésis concomitante à la malversation communautaire actuelle paraphée par des politiques philosophiques tatouées au nombril de leur monde.

      Michel Einomhra MONTEST

  27. RECTIFICATIF: pas **** mais Sydney Laurent
    Concernant le paiement des droits d’auteur chez Sydney Laurent éditions, cela fait 5 mois que je galère et je viens d’envoyer un recommandé car le directeur me balade avec des excuses chaque fois différentes.
    Ça ressemble de plus en plus à une anarque.

    1. Même souci avec Sydney Laurent. Mes droits d’auteur pour un contrat fini depuis mi août n’ont pas encore été versés.
      J’ai quelques éléments à communiquer qui vont vous alarmer.
      Ils font des chèques en bois pour nous inscrire à des salons, ils ne paient plus leurs imprimeurs, vous raccrochent au nez ou vous baladent pour vous faire patienter.
      Grosse galère car j’ai un 2e contrat en cours chez eux ….

      1. Bonjour Virginie, Je suis dans la même situation avec les Editions **** ça fait maintenant un peu plus de deux ans que je n’ai rien reçu. Obliger à voir un avocat.

  28. Concernant le paiement des droits d’auteur chez **** éditions, cela fait 5 mois que je galère et je viens d’envoyer un recommandé car le directeur me balade avec des excuses chaque fois différentes.
    Ça ressemble de plus en plus à une anarque.

    1. Votre nom ne correspond à aucun auteur chez **** !
      Les droits d’auteur sont payés systématiquement chez ****. Ils sont payés une fois par an en début d’année comme prévu dans le contrat d’édition. Ce paiement annuel des droits d’auteur est ce que recommande la SGDL dans son contrat type et la pratique de toutes les maisons à compte d’éditeur. Merci de ne pas diffuser de fausses informations comme d’ailleurs cette pseudo enquête en est truffée.
      L’amalgame entre **** à compte d’éditeur et les autres maisons citées ici à compte d’auteur signale le peu de sérieux de l’auteur de ce blog.

  29. Critique suite des editions **** qui ont edite mon livre apres une campagne de prevente qui leur permet de ne prendre aucun risque et de presque tout accepter sans vraiment les lire. Je vois sur vente Fnac une vente de 450 livres et une note de satisfaction de 4,5 sur 5 et par hasard tous les autres livres edites par ces editions **** auraient la meme vente la meme note…encore de l ‘intox .

  30. En juin dernier, suite à l’envoi d’un manuscrit, j’ai signé chez Lys Bleu Edition, en toute ignorance de leurs pratiques. J’ai eu droit, moi aussi, aux mêmes appréciations du “Comité de lecture” : ” Vous maniez les mots, etc, etc…”. Comme un benêt, j’y ai cru :). La mise en page a été confiée à une certaine “Niçaise” dont je doute, aujourd’hui, de l’existence. Cette phase a été un long chemin de croix. De moutures irréelles à carrément sabotées, le clavaire a duré 2 mois. J’ai dû changer de ton pour obtenir, enfin, une épreuve acceptable. Début septembre, j’ai été avisé de la publication de mon recueil, “Escapades”. Conformément au contrat, je me suis acquitté, sans réserve, de 40 exemplaires. Reçu un avis selon lequel s’agissant d’une 1ère impression, les délais de livraison étaient d’une vingtaine de jours. La promotion de l’ouvrage est confiée à un certain “Moktar” ( personnage fictif ? ). La Sté occupant un espace en co-working, les échanges se font uniquement par mail ( pas pratique). Les échanges avec Benoit Couzi ne m’incitent guère ni à prolonger mon contrat, ni à en signer un autre pour une 2nd manuscrit. A suivre…

    1. Pour un texte que j’ai adressé au Lys Bleu j’ai reçu une réponse positive mais avec l’obligation d’acheter 40 exemplaires minimum. Avez vous eu d’autres frais? J’hésite a me lancer dans “une galère”. Cordialement,

  31. Bonjour !
    En juin dernier, suite à l’envoi de mon manuscrit, j’ai signé chez Lys Bleu Edition, en toute ignorance des pratiques de certaines maisons d’édition. Votre site me permet de réaliser que j’ai eu droit aux mêmes appréciations du “Comité de lecture” : ” Vous maniez les mots, etc, etc…” (!). Comme un benêt, j’y ai cru :). Pour la mise en page, mon dossier a été confiée à une certaine “Nicaise” et ce fut un long chemin de croix. De moutures invraisemblables à carrément sabotées, le calvaire a duré 2 mois. A mon grand dam, j’ai dû changé de ton pour, enfin, obtenir une mouture vierge d’imperfections. Début septembre, j’étais avisé de ma publication. L’exigence d’acquisition de 40 exemplaires ne m’a pas choqué. Reçu un avis que les délais de livraison, pour une 1ère impression était d’une vingtaine de jours. J’attends la suite.
    Bien à vous.

    1. Exemple typique de ME à compte d’auteur déguisé, quels que soient ses dénégations et son argumentaire bien huilé :
      1. comité de lecture fantoche qui ne prend même pas la peine de varier la phrase laudative avec laquelle il annonce leur sélection à chacun de ses auteurs (“vous maniez les mots avec une telle facilité que vous ne semblez nullement et jamais obligé d’écrire”…) ;
      2. participation financière obligatoire, maquillée en préachat d’une quarantaine d’exemplaires par l’auteur, gage prétendu de son implication, alors qu’il s’agit juste pour l’éditeur d’être à frais zéro ;
      3. dans l’immense, l’écrasante majorité des cas, nulle promotion de l’ouvrage, nulle proposition de séances de dédicace et de présence dans les salons du livres, l’auteur étant supposé s’impliquer lui-même comme indiqué précédemment.
      A se demander à quoi sert une ME !
      En somme, l’auteur paye pour ne pas être promu mais être dépossédé de ses droits d’auteur… Cela s’appelle une édition à compte d’auteur déguisé.
      A tous les auteurs : avant de confier votre manuscrit, renseignez-vous ici https://lesauteursontdesdroits.info et prenez le temps de bien réfléchir.

  32. Excellent
    J ai eu la même surprise en envoyant mon travail ( réel cependant ) et ai eu une dizainexdexreponses positives dont ed **** ou j ai signé… j ai aujourd’hui mon livre édité avec la certitude que la maquette, la 4ème la couverture, la correction sont en fait 99% de mon fait, la campagne de promo que du blablacar, … j ai mis dans mon livre une critique de ces maisons d edition qui est passé INAPERÇU…petite consolation et clin d œil
    “AUX DERNIETES NOUVELLES “de Jean Mehl

    1. Votre commentaire diffuse de fausses informations sur ****. Il suffit de regarder la qualité des couvertures produites sur la catalogue de **** pour voir que cela ne peut pas être les auteurs qui les font. Il y a au contraire des maquettistes professionnels qui proposent des couvertures originales et de qualité aux auteurs. De même, la correction et la mise en page des livres sont assurées par des professionnels chez ****.
      Merci de ne pas diffuser de fausses informations.

      1. J’ai publié chez **** et ils m’ont demandé de trouver une photo pour la couverture et l’ont insérée. Voilà le travail du maquettiste. Le livre a été publié avec ses coquilles et tout.

      2. Votre réponse semble être PRO **** et vous défendez avec vos arguments cette société. A d’autre égard, j’aurais pu être le gérant de cette société et j’aurais pas aimé qu’on réalise un article sur ma société en ce sens. Maintenant, il faut aussi prendre du recul et recherchez vos parts de responsabilités et la façon dont cette entreprise communique.

        Lorsqu’il y a une discussion entre acheteur et vendeur, le périmètre des tâches et sous-tâches doivent être clairs, précises, sans ambiguïté, ni fausse promesse. Je suis même dirigeant d’une petite société et parmi nos activités, nous aidons les auteurs et écrivains à fabriquer, publier et vendre plus de livres ! Et je vous avoue que ce n’est pas tous les jours facile avec les interlocuteurs auteurs… Et si vous travaillez chez **** (ou pas), vous savez qu’aider les auteurs, ce n’est pas du tout simple ou facile. Et cependant, c’est au professionnel d’expliquer afin d’anticiper les insatisfactions, incompréhensions et litiges. Pour ma part, sur 850 commandes, nous avons généré 03 avis clairement négatifs et 761 avis positifs. Et donc près de 90 personnes qui ne m’ont pas mis de commentaires négatifs, mais qui n’ont probablement pas été satisfaits à 100%

        Donc, utilisez cet article (dont je ne connais pas l’auteur), comme un moyen de vous améliorer… si vous travaillez de près ou de loin auprès de la société citée

        Enfin, l’objectif de cet article n’est probablement de dénoncer ou de diffamer les maisons d’édition mentionnées, mais simplement de déterminer leur niveau de sélectivité.

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